Audryn

Voyageur de passage

Audryn, la fille du menuisier

C'est au coeur de l'hiver 2996 que j'ouvris les yeux sur le monde, enfin le monde c'est beaucoup dire, Combe serait plus précis. La sage femme au chevet de ma mère, me pensant morte née, m'assénera pas moins de quatre bonnes gifles de sa vieille main racornie pour m'arracher mon premier cri, présage peut-être de tout le souci que j'allais occasionner à mes parents pour le reste de leurs vies. Quelques années plus tard je me penchais, pas peu fière d'être devenue "grande", sur les berceaux de mes deux petites soeurs.

Je suis la fille d'un menuisier fort habile et réputé en pays de Bree. Je me souviens comme je passais des heures à le regarder dans son atelier . Tout à son labeur, il ne remarquait jamais ma présence. . Jamais je n'ai connu parfum plus enivrant que celui de la cire tiède, son plus apaisant que celui du rabot. Aux pires heures de ma jeune vie, promener mes doigts sur du bois m'a toujours apporté un réconfort inexplicable.

Mon enfance fut douce et choyée, nous étions des gens simples mais nous vivions bien. Très jeune déjà je faisais preuve d'un tempérament revêche à l'autorité et manifestais de façon marquée mon peu de goût pour l'étude. Je préférais courir la campagne, piéger des écureuils et grimper aux arbres, si bien qu'à l'aube de mes 12 ans je ne savais toujours pas lire. Oh n'allez pas croire que j'en sois fière, c'est même tout le contraire.
J'étais une tête de bois, imperméable à tous travaux intellectuels, c'est ce que répétait sans cesse ma pauvre mère...une tête de bois, elle ne croyait pas si bien dire, j'étais fille de menuisier après tout.

Je passais de longues heures à faire l'école buissonnière, m'enivrant de chants d'oiseaux dont je ne connaissais pas les noms, cherchant la caresse du vent sur mon visage, pataugeant dans l'eau glacée de quelques criques secrètes, une vraie sauvageonne. Mes parents avaient renoncé aux remontrances et leçons de morale. Mon père voyait sans doute en moi le seul "fils" qu'il n'aurait jamais et j'avais prouvé à ma mère que j'étais capable d'accomplir des choses utiles, me révélant bien meilleure pour les exercices manuels que pour ceux de l'esprit.
Tous deux pensaient qu'en grandissant, je finirais par délaisser mes comportements de garçon manqué pour adopter des manières et un vocabulaire plus conforme à mon sexe. Hélas il n'en fut rien, ce fut même de pire en pire. J'étais un esprit libre et me fichait de la bienséance.

Finalement j'atteignis l'âge des minauderies et des soupirs ridicules dont les adolescentes sont coutumières. Pendant que les filles de mon âge s'essayaient à l'art des oeillades et des rires idiots, je poursuivais ma vie de bohème. Je me souviens encore du premier garçon qui se risqua à me dire qu'il me trouvait jolie. Son sourire empli de niaiserie et ses yeux béats d'admiration...mon sourire pincé et mes yeux arrondis de surprise. Finalement un coup de poing sur le nez m'apparut comme la meilleure des réponses.
Afin sans doute de dompter mon désir d'indépendance et de liberté, mon père prit, à l'automne de mes 20 ans, la décision de me marier. Redoutant sans doute ma réaction, je fus curieusement la dernière à être mise au courant. Passablement révoltée par cette injustice et ne pouvant me résoudre à laisser d'autres que moi diriger ma vie, je m'enfuyais quelques semaines plus tard à la faveur d'une nuit sans étoiles, pour rejoindre les rangs d'une compagnie que j'avoue, j'avais choisi au hasard. Le  roseau blanc, c'est comme cela qu'on les appelait...

Mais je parle, je parle et personne ne m'arrête. Voilà que je raconte ma vie à de parfaits étrangers. Vous vous fichez sans doute éperdument des états d'âme d'une petite paysanne. Cela tombe bien, je ne suis pas ici pour me faire plaindre mais pour vous proposer mes services. Je suis plutôt habile avec un arc et j'ai hérité de mon père l'art de travailler le bois et même de le faire chanter, j'ai cru comprendre qu'il y avait des musiciens parmi vous...
Je sais que ma démarche doit vous semblez bien étrange mais j'en ai assez de voyager et de ne jamais me poser voyez-vous. Je ne demande pas de salaire je vous rassure, je veux juste un endroit où dormir et un petit coin de cheminée, un chez moi en somme...n'est-ce pas là ce que nous cherchons tous ?

Derrière l'écran (Hrp quoi)

- Forum : Régulièrement
- Participation aux canaux de discussion : Parfois
- Quêtes de groupe de confrérie : Régulièrement
- Quêtes de groupe de nos alliés : Parfois
- Événements RP confrérie : Régulièrement
- Événements RP de nos alliés : Parfois
- Instances de confrérie : Parfois
- Instances de nos alliés : Rarement
- Demande/offre d'artisanat : Régulièrement
- Réponses aux sollicitations de la confrérie : Régulièrement

Quel est votre niveau de culture Tolkienienne ?

J'ai lu la trilogie et Bilbo, et je me suis arrêtée là, je trouve le style de Tolkien fabuleusement indigeste. Du coup je n'ai pas eu le courage d'aller plus loin. J'ai vu les films. Je n'hésite pas à faire des recherches quand je constate que j'ai des lacunes. j'ai beau ne pas adhérer au style littéraire, je suis éprise de la lore.

Dernière modification par Audryn (02-10-2012 17:41:16)

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Eolyhnn

Voyageur de passage

Re : Audryn, la fille du menuisier

Eolyhnn lève les yeux de la halle et s'arrête de jouer ," suilad à vous jeune Dame, entrez donc "

Yssabel qui cuisinait lève les yeux aussi : "Oh bonjour, je suis contente de rencontrer une personne du même pays que moi !  Voulez-vous un muffin ? c'est une spécialité de la maison, je reconstitue les stocks de Dame Frangipane"

Frewger

Même les Morts n'en veulent pas

Re : Audryn, la fille du menuisier

Frewger s'extrait de son fauteuil et repose son "précis des voies & chemins de l'Arthedain" ainsi que ses lunettes pour accueillir la nouvelle arrivante.

- Il est possible de loger ici, Madame, si vous supportez les va-et-vient perpétuels, les répétitions musicales à toute heure, les buffets garnis dégarnis en quelques minutes, les chansons à tue-tête, le vol de poëlons ravageurs, l'odeur du surströmming, les coups de marteau, de forge, de rouleau à pâtisserie... Sans compter les chansons avinées & paillardes de certains... Dans le dernier cas, le poëlon dont je parlais est fort utile. Au pire, une dénonciation auprès de notre cuisinière-artilleuse Ismène est une bonne solution. En résumé, je vous conseille de vous trouver au plus vite une petite maison à vous, pour le sommeil, et de profiter de celle-ci pour le reste."

Frewger ouvre la porte de la cuisine.
- Ici, c'est ce qui se mange et se boit, territoire de Hobbits, attention où vous mettez les pieds."

Il fait quelques mètres et désigne l'escalier.
- Par ici, la bibliothèque, gardée par maître Endryamir -et parfois moi-même- et... oh." rembobine et réécoute le discours d'Audryn, puis fait une pause gênée. "Avez-vous fini par apprendre à lire depuis vos douze ans ? Sinon, on peut vous apprendre, il vous faudra un maître ou une maîtresse de lecture..."

Autre pause, puis réfléchit
- On peut vous accueillir pour la modique somme de 300 pièces d'argent la semaine, ça vous convient ?" Il arbore un large sourire et attend une réaction...

[HRP]
Menelhen va encore devoir chercher ses Pantoufles (humour répétitif), mais la "trilogie" est un terme qui ne s'applique qu'aux films, Tolkien a vu son livre, qu'il voulait d'un seul tenant, séparé en trois tomes pour des raisons d'édition (prix du papier). (vais finir par noter "veut être calife à la place de l'Inquisiteur" sur mon profil, moua)

Juste pour info, quelle est ta classe et ton niveau ? (parce qu'en fait, derrière notre portail "RP-musiciens"  se cache une confrérie de roxxors de la mort qui raide tous les jours en T2 pour toper le stuff de malade mental, et on ne recrute que des joueurs au top qui jouent deux fois par soir, et les classes dont on a besoin uniquement :-) )

A part ça, pour ton congé mater, j'espère que ça se passe bien et que tu arrives encore à tenir assise... Après Aherdin et Ferelion (et bientôt d'autres ? qui sait), il va falloir ouvrir une section junior dans ce forum !

Audryn

Voyageur de passage

Re : Audryn, la fille du menuisier

Tandis qu'elle déguste le savoureux muffin qu'Yssabel vient de lui proposer, Audryn emboîte le pas de Frewger pour une visite des moindres recoins de la maisonnée.

- Oh je n'ai rien contre la musique quand l'art est bien exercé, ni contre les chansons quand elles sont bien chantées. Et pour ce qui est des va-et-vient, cela ne peut pas être pire que dans une auberge, on a d'ailleurs son compte de chansons paillardes et avinées  comme vous dîtes, dans ces sortes d'endroits. J'ai bien peur d'avoir bien malgré moi, habitué mes oreilles à un répertoire qui ferait honte à celle qui m'a donné le jour. Toutefois je n'ai pas le bonheur de m'être essayée à votre fameuse tradition du lancer de poëlon...mais je suis plutôt adroite et agile aussi...je pense pouvoir faire mouche ou les éviter, c'est selon...

Notant que l'homme à qui elle est incapable de donner un âge se trouve confus quand on aborde le sujet de la lecture elle répond...

- La bienveillance et la patience d'un gondorien sont déjà venues à bout de mon illettrisme. Il est venu à bout de beaucoup de choses d'ailleurs...mais c'est une longue histoire et pas des plus heureuses en plus.

Les yeux de la jeune femme se voilent de tristesse un instant, puis comme pour se ressaisir elle tapote une bourse à sa ceinture et ajoute...

- 300 pièces d'argent la semaine ? Ma foi cela dépend...A ce prix là vous vous affublez d'un tablier et faîtes le service vous-même ?

Le visage de la breearde se fend d'un sourire éclatant.

[Hrp]

Le terme trilogie est sans doute mal choisi, j'en conviens, un malheureux écart de langage.

Sinon je suis chasseur (vous savez cette classe hyper rare dans le jeu) et actuellement de niveau 72, n'ayant repris Lotro que depuis peu de temps (J'ai fait une très longue pause quelques mois après la sortie de la forêt noire).

Dernière modification par Audryn (26-08-2012 14:51:18)

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Valder Faïn

Compagnon

Re : Audryn, la fille du menuisier

Fait apparition dans la salle avec une capuche qui masque son visage et , à son épaule, un sac qui offre aux oreilles des présents le reconnaissable tintinnabulement des pièces d'or. Valder retire la capuche en vue d'une visite, qui est pour couronner l'affaire , d'une jeune femme d'apparence plus que présentable à son avis.
Il écoute les derniers mots de Frewger et fronce les sourcils, lâche le sac et réprimande le vieil voyageur et cartographe.

- Mais quel barbare. C'est donc comme ça les coutumes de ceux qui vivent à l'Est dans leurs steppes vertes et grandes, Frewger ? 300 pièces d'argent ? Peuh... Vous avez jamais écouté la chanson " Les jeunes belles filles payent pas avec de l'or..." ?

Est surpris  lui même après avoir parlé de cette façon à un si sage et réputé voyageur et s'éclaircit la gorge et attends.

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Frewger

Même les Morts n'en veulent pas

Re : Audryn, la fille du menuisier

Frewger rit à la réponse d'Audryn.

- héhé, malheureusement je n'ai pas de  tablier, et ceux de Frangipane sont trop petits pour moi." Il se tourne vers Valder. "Soyez rassuré, Valder, "Ceux qui vivent à l'Est" ainsi que notre visiteuse du jour ont l'esprit suffisamment vif pour savoir répondre correctement à mes piètres tentatives d'extorsion... Sans pour autant payer avec autre chose que de l'or... C'est une idée digne d'Herulff ou de Beorhtnoth, ça, dites ?"

Il replonge vers la cuisine, retrouve quelques muffins intacts et les propose à Audryn. "On vous trouvera de la lecture. Et des poëlons pour apprendre à les lancer avec Ismène. Un muffin ?"

Dernière modification par Frewger (25-08-2012 17:53:23)

Eolyhnn

Voyageur de passage

Re : Audryn, la fille du menuisier

Eolyhnn fornce les sourcils aux propos de Frewger 
"Ne soyez pas impressionnée jeune dame , sous son caractère bourru se cache un coeur d'or !!
*rit à son jeu de mots*

Audryn

Voyageur de passage

Re : Audryn, la fille du menuisier

Avisant l'homme encapuchonné qui vient d'entrer, Audryn s'exclame sur un ton légèrement indigné...

- Payer avec autre chose que de l'or, j'ai peur de ne pas vous suivre l'ami, ou de trop bien vous comprendre au contraire. En fait j'espère que je fais fausse route.

Puis mordant avec apétit dans un muffin que Frewger vient de lui rapporter de la cuisine elle ajoute à l'intention de la jeune elfe...

- Oh rassurez-vous demoiselle, je ne suis pas fille à se laisser impressionner facilement. J'ai connu beaucoup de butors et d'escrocs dans ma vie. Ils parlent souvent fort mais se révèlent presque toujours inoffensifs.

La jeune femme jette un coup d'oeil furtif à l'homme d'un âge certain...

- Non pas que j'estime être pour l'heure en de telle compagnie. Pour tout dire j'apprécie le sens de la répartie et je trouve monsieur fort divertissant.

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Frewger

Même les Morts n'en veulent pas

Re : Audryn, la fille du menuisier

- Hé ! vous allez me faire rougir ! *sourit* Installez-vous donc, *désigne le fauteuil de Cyian, comme avec tout(e) nouvel(le) arrivant(e)* nous allons attendre l'arrivée d'un ou d'une de nos échevins pour que vous les rencontriez. Il doit y avoir, par ici *farfouille, farfouille* d'autres muffins... Du thé, sucre, crème, lait *sort les articles au fur et à mesure*, et, oh ! Des gâteaux à l'anis !"

Frewger prépare un plateau avec tout ce qu'il a trouvé et l'emporte vers le petit salon.

Ferelion

Compagnon

Re : Audryn, la fille du menuisier

Ferelion pousse la porte de la Halle et entre à pas feutrés. Quelle n'est pas sa surprise d'y trouver autant de monde. Se levant légèrement sur la pointe des pieds, il découvre rapidement la source de tout cet émoi et sourit. S'adressant à la cantonade :
- Suilad, compagnons. Heureux de vous revoir ! Ne vous dérangez pas pour moi, je gagne l'étage !

Ferelion traverse rapidement la grande piéce et, avant de gravir les escaliers, se retourne :
- Oh, et avant de l'étouffer, donnez donc un peu d'air à cette jeune fille. On dirait des abeilles autour d'un pot de miel !

Ferelion rit et rejoint l'étage.

[hrp] Bonjour à toi et bienvenue ! Juste quelques questions. Pourquoi avoir choisi le Dragon ? As-tu déjà fait partie d'une confrérie ? Qu'attends-tu de la notre ? Possèdes-tu des reroll ?
Questions triviales, je sais... Mais je suis curieux !
[small]PS : Frewger est un vieux grincheux, mais il a un coeur d'or ! Et euh, oui, il est un peu cupide, non ? Et Valder ? Je pense qu'il cherche une femme ! Bien sûr tout ceci étant dit sous le sceau de la confidence, hein... *sourit*[/small] [/hrp]

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Ferelion

Audryn

Voyageur de passage

Re : Audryn, la fille du menuisier

Audryn s'installe confortablement dans le fauteuil qu'on lui désigne.

- Ma foi j'ai l'impression que vous me prenez pour une habitante de la Comté, je ne suis pourtant pas si petite. Ceci dit, tout a l'air si appétissant que je vais me laisser tenter. Enfin j'espère seulement que cela ne manquera pas aux hobbits de votre compagnie ?

La jeune femme n'a pas la volonté d'attendre la réponse et s'empare d'un gâteau à l'anis.

- Donc vous me parliez d'échevins je crois. Vous n'êtes donc pas une personne d'autorité sous ce toit ?

La breearde porte une tasse de thé à ses lèvres attendant qu'on lui réponde. C'est qu'elle commence à se sentir bien ici.

[Hrp]

Pas de soucis pour les questions "triviales", je suis moi-même très curieuse.

Alors en vérité si les origines d'Audryn me l'avait permis, j'aurais probablement tenté de rejoindre l'Ethelleas Eored, y connaissant deux joueurs que j'ai rencontré au roseau, Etheliwen et Silfried. Mais leur confrérie étant thématique et mon personnage principal étant de Bree, je n'ai rien à y faire.

Du coup pourquoi le Dragon Eteint ? Déjà parce que je cherchais une confrérie roleplay et que depuis mon départ le paysage a un peu changé à ce niveau sur le serveur, j'ai eu l'impression que les gens ne pratiquaient plus le rp qu'en cercle fermé et du coup je me sens un peu sur la touche quand je débarque au Poney Fringant par exemple.
Parce que je vous connais de réputation (j'ai pas mal traîné mes guêtres sur Estel et j'ai assisté à pas mal de vos concerts) et elle est bonne. C'est une confrérie bien établie avec un vécu ce qui en soi est rassurant. J'ai aimé la sobriété de votre site et la charte me convient dans sa totalité.

Ce que j'attends du Dragon Eteint...du roleplay, de la rigolade et un climat de jeu serein.

Sinon au niveau de mon parcours sur Estel, j'ai eu deux confréries à ce jour.
Pour la première cela date de 2007, L'Etoile d'Onarius, confrérie avec une thématique d'artistes, de baladins et autres bardes. L'expérience a été brève car c'était plus ou moins une guilde multi-jeux, très roleplay mais ils changeaient souvent d'univers.
La seconde c'était la compagnie du roseau blanc dans laquelle je suis restée environ un an et demi. J'ai bien aimé les expériences que j'y ai faite même si j'ai fini par la quitter par lassitude du jeu d'abord puis parce que l'ambiance avait trop changé à mon goût.

Le sujet qui fâche hum, les rerolls...alors hélas je suis atteinte de cette maladie que l'on nomme plus communément rerollite aigüe. J'ai un personnage de chaque classe et j'aime les jouer à l'occasion, mais pas de façon soutenue. Je suis trop attachée à Audryn pour m'investir trop longtemps sur un alt. J'aime bien les faire intervenir dans la vie de ma breearde de temps en temps ou aller faire du rp léger avec à l'épouvantail ivre par exemple, cela permet de jouer autre chose le temps d'une soirée.
Par contre j'ai beau en avoir beaucoup, ils ne seront probablement jamais guildés pour la simple et bonne raison que l'étroitesse des maisons proposées sur Lotro m'a poussé à monter une confrérie avec, afin de m'acheter à terme un plus grand logis.

Dernière modification par Audryn (26-08-2012 15:03:34)

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Frewger

Même les Morts n'en veulent pas

Re : Audryn, la fille du menuisier

Frewger s'approche un repose-pieds, s'assoit dans le fauteuil d'en face et s'installe tout en mâchonnant son muffin.

- Bonjour à vous, Ferelion ! Ah, et ne vous inquiétez pas pour les hobbits, ils se chargent eux-mêmes de leur ravitaillement. Le plus difficile est d'en capturer une partie pour vous avant qu'ils ne finissent tout. Quant aux Echevins, je n'en suis pas. Je n'ai d'autorité que sous mon propre toit (et encore !), ici je ne suis qu'un utilisateur assidu de la bibliothèque, gardien de la table à cartes et videur de garde-manger. *il sourit puis hausse la voix* Valder ! Puisque vous n'avez rien à faire, vous pouvez nous apporter la bouilloire ? Elle siffle."

[HRP]
[small]PS : Cupide, moi ? Mais non, c'était juste pour la tester... Après tout, on est une confrérie marchande, il faut savoir résister à l'escroquerie pour être admis ^^[/small]