Vous n'êtes pas identifié(e).
"Behomond arriva dans le halle en sifflant et en appelant son ami et cousin Catrus"
Catrus, mon bon ménestrel êtes vous ici... Catrus?
"C'est a ce moment qu'il entendit un cris déchirant venant de la salle et contempla le triste spectacle. interloqué il demanda:"
Mais qu diable se passe-t'il ici pour que même la plus joyeuse hobbit soit aussi affligé ?
"puis remarquant le morceau de papier chiffonné, brulé et trempé de larme il se pencha, le ramassa, le déplia et le déchiffra. Après sa lecture il prit un air sombre"
Oh... je n'ai qu'à peine eu le temps de le connaitre bien mais il a toujours était d'une agréable compagnie, je regrette qu'il doive nous laisser. c'est mon cher cousin qui va en être attristé...
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Je n'étale pas mes problèmes, j'essaye de les règler en dehors du forum. Maintenant, cette discussion est terminée. Merci d'en tenir compte.
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Endryamir Foro, érudit de Minalondë
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Une bise printanière soufflait doucement sur limmensité des terres désolées du Wold. Ce haut plateau, amas chaotique de rochers et de vallons accidentés, formait la frontière nord-est du Calenardhon, nommé Rohan par ses habitants. Un petit groupe dhommes encapuchonnés, ombres grises parmi les ombres grises, bivouaquait discrètement au fond dune combe où chantait timidement une rivière.
- Je te sens ailleurs, Endryamir Foro, ton frère est retourné dans le nord, et il avait de bonnes raisons de le faire
Lhomme qui venait de parler sexprimait dans une langue rude aux accents gutturaux. Candaith maîtrisait parfaitement lAdûnaic, la langue de ses lointains ancêtres Numenoréens, sa voix était profonde et apaisante.
« Tu peux encore changer davis
tu laisses de nombreux êtres chers en Eriador, et il y a encore beaucoup à faire dans ces contrées avant la fin, quelle quelle soit. La Compagnie Grise naffrontera pas son destin dans limmédiat; tu pourras nous rejoindre plus tard
écoute ton cur, et agis en accord avec lui
»
- Je
je vais réfléchir, Candaith
Endryamir se leva, ôta son capuchon et regarda vers le nord. Là-bas, quelque part, sétendait sa patrie, lEriador, autrefois Arnor. Là-bas se trouvaient ses amis
Il sétait préparé toute se vie à ce moment, et maintenant quil fallait partir, son cur désirait rester auprès des siens. Le Dunadan soupira profondément, en proie à un terrible dilemme.
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Endryamir Foro, érudit de Minalondë
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Alors c'est bon, vous me prenez ?! Quand dois-je partir ?
Cyian était fier de lui, il avait mis toutes les chances de son côté : sa tenue était uniformément grise, suffisamment élimée pour faire illusion, parfaitement adaptée au voyage qu'il s'apprêtait à entreprendre. Il avait travaillé son accent en Evendim pour paraître moins "dalique" et avait sans anicroche aucune glissé deux trois mots d'adûnaïque.
Grâce aux carnets d'Endryamir, et malgré un mal de crâne persistant, il s'était composé une famille tout à fait respectable dont les racines plongeaient -de manière certes chaotique - tant dans l'Arthedain ancien, que dans le Rhudaur et le Cardolan. Il avait à plusieurs reprises mandé la protection d'Elbereth, et avait soupiré de manière tout à fait convaincante à l'évocation du "Roi sans couronne". C'était sûr, cette fois, la compagnie Grise ne pourrait refuser son adhésion et il retrouverait la trace du kennari.
C'était sans compter le bon sens et la mémoire des rôdeurs d'Esteldin.
Cyian Ostengaardt des Ostengaardt de Dale, cela fait plus d'un an que vous traînez dans les parages et que vous partagez notre table, répondit, un brin amusée, l'intransigeante Nethur. Nous avons eu droit, plus qu'il n'en faut, au récit de vos déboires familiaux. Et vous voulez nous faire croire, maintenant, que la mémoire vous est subitement revenue ? Et que le Grand Lac dont vous nous avez rabâché les oreilles était en fait le Lac Nennial ?!! Vous nous prenez vraiment pour des nicbriqueux !
Défait, Cyian grommela quelques mots d'excuse avant de gagner l'écurie. A son cheval Pelvi, il confia :
Allons à Aughaire ! Ils me connaissent moins là-bas. On ne sait jamais.
Dernière modification par Cyian (10-06-2010 15:18:04)
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Après un voyage semé d'embûches, Endryamir était de retour en Eriador. Il goûtait chaque parfum, chaque caresse du vent; le Dunadan avait pris tout son temps pour traverser l'Eregion, puis la Trouée des Trolls, et l'Oiolad, les Terres Solitaires. Il avait bivouaqué au pied d'un chêne séculaire dans le Pays de Bree, et s'était reccueilli en Andrath, cité sacrée des ses ancêtres du Cardolan. Ithilglin, sa monture cadeau des Galadhrims, s'ébrouait et marchait au pas, heureuse de profiter pleinement des odeurs ennivrantes des fleurs d'été. L'étalon s'arrêta par habitude, à l'entrée de la majestueuse propriété. Endryamir sortit de ses rêves, descendit de cheval, posa son baluchon sur le dos et fit quelques pas impatients vers la porte familière; il entra dans la Halle et lança un vibrant:
- Mae govannen compagnons!
Le Dunadan sourit, murmurant pour lui-même: "Qu'il est doux de rentrer chez soi, parmi les siens".
Dernière modification par Endryamir (14-06-2010 15:35:34)
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Endryamir Foro, érudit de Minalondë
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Je suis ravi de vous revoir.
Je m'inquiétais justement de votre absence.
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